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Promo: Long Way Down
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Le parallèle avec AC/DC est intéressant.
Nous avons là deux des plus grands ''rock bands'' de l'Histoire
qui ont su, à travers modes et décennies, conserver leur
facture originale, toujours demeurer parmi les plus grands et, encore après
40 ans, présenter les spectacles parmi les plus courrus. Bien sûr,
la recette de AC/DC tourne essentiellement autour des riffs accrocheurs
et des ''chorégraphies'' uniques du guitariste Angus Young, alors
que pour KISS, il s'agira davantage d'un effort musical et vocal collectif
entìèrement au service de cette qualité de costumes,
dispositifs scéniques, mise en scène et performance musicale
qui constitue la véritable signature des vétérans
new-yorkais.
Avec ce MONSTER (2012), un 20ième album
original studio, on ne va pas déroger à la formule. Que du
rock. Du très rock. Du très très rock. Pur. Classique.
Bref, tout simplement du KISS, sur toutes ... toutes et chacune des 12
plages proposées, sans exception. On ne constatera, à toute
fin pratique, aucune nuance à ce rock monolithique, tout d'une pièce,
mais si l'on veut tenter l'exercice, hasardeux à souhait, on y retrouvera
peut-être une faible teinte ''southern'' dans la pièce d'ouverture
et premier extrait connu depuis des mois HELL OR HALLELUJAH et dans ALL
FOR THE LOVE OF ROCK & ROLL. |
