Céline Dion
Québec 400, Plaines d’Abraham, 22 août
2008
Céline Dion - Garou
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Céline Dion - Marc
Dupré
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Céline Dion
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Céline - Claude Dubois
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L’événement était attendu
depuis plusieurs mois. Il allait, en quelque sorte couronner cette année
de célébration historique pour la plus ancienne ville d’Amérique.
Conséquemment, il s’imposait de demander à la plus grande
star de la pop de présenter ce spectacle spécialement conçu
pour la circonstance avec, comme invités, quelques uns des plus
grands noms de notre chanson.
Devant une seconde foule en moins d’un mois de
plus de 200 000 inconditionnels réunis sur les Plaines et transportée
par 25 musiciens et 4 choristes sous l’habile direction musicale de Scott
Price, CÉLINE DION, d’entrée, donne le ton avec trois canons
signés Jean-Jacques Goldman, parmi ceux qui ont façonné
sa réputation internationale, DANS UN AUTRE MONDE (1998), DESTIN
(1995) qui fut pendant quelques années la chanson d’ouverture de
son spectacle francophone et ON NE CHANGE PAS (1998). |
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Céline - Nanette Workman
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Puis, la diva accueille un à un les invités de la soirée,
lesquels vont présenter deux ou trois de leurs succès, au
grand plaisir de l’auditoire.
Cependant, c’est dans les duos avec Céline que la magie va opérer
pour chacun d’eux. Ce sera le cas de SOUS LE VENT (2000) avec Garou, TOUT
PRÈS DU BONHEUR (2006) avec Marc Dupré, LADY MARMALADE (1975)
et J’IRAI OÙ TU IRAS (1995) avec Nanette Workman et TUE-MOI (1992)
avec Dan Bigras, lequel va plus tard partager ses TROIS PETITS COCHONS
(1995) avec Mes Aïeux, auxquels Céline va ensuite se joindre
dans un entraînant DÉGÉNÉRATIONS / LE REEL DU
FOSSÉ (2004). |
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Céline - Dan Bigras
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La Famille Dion
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Céline - Nanette
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Autres moments forts de la soirée, la Famille Dion qui va partager
avec la plus jeune un étourdissant medley de chansons traditionnelles
dites ‘’du bon vieux temps’’ et ZACHARY RICHARD dans un intense duo avec
l’animatrice pour L’ARBRE EST DANS SES FEUILLES (1980).
La star va ensuite entonner L’AMOUR EXISTE ENCORE (1991), rejointe par
un Eric Lapointe flamboyant qui va terminer le duo à genoux devant
elle, au grand plaisir de la foule. Le rocker va poursuivre avec l’autre
Plamondon de son récent album, TOUCHÉ (2008) et conclure
avec ‘’une demande de René Angelil’’, dira-t-il, MON ANGE (1999).
Puis, Garou le rejoint dans un duo déchaîné de
LA CHASSE-GALERIE (1978) terminé avec un Claude Dubois rayonnant,
juste avant que ce dernier ne partage SI DIEU EXISTE (1996) avec Céline
et ne permette à 200 000 fans enthousiastes de fredonner avec lui
FEMME DE RÊVE (1973). |
Céline - Mes Aieux
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Céline - Zachary Richard
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Céline - Éric Lapointe
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Céline - Éric Lapointe
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Céline - Ginette Reno
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Puis, Céline revient. La foule apprécie les invités
mais sent qu’elle pourra maintenant partager les prochains moments seule
avec son idole. Ce sera alors S’IL N’EN RESTE QU’UNE (2007) et deux autres
Goldman parmi ses méga succès francophones, S’IL SUFFISAIT
D’AIMER (1998) et POUR QUE TU M’AIMES ENCORE (1995).
Finalement, s’amène un Jean-Pierre Ferland en très grande
forme, exceptionnellement sorti de la retraite pour l’occasion, qui va
présenter un duo prenant avec Céline dans UNE CHANCE QU’ON
S’A (1995) et ensuite entonner avec elle UN PEU PLUS HAUT (1969), |
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Céline - Ginette Reno
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jusqu’à ce qu’arrive l’autre grande dame de la pop de chez nous,
longtemps invitée surprise mais dont on connaissait l’identité
depuis le matin.GINETTE RENO reprend, d’abord seule, la suite de cette
interprétation qui avait secoué une foule comparable sur
le Mont-Royal (Montréal), il y a plus de trente ans. Puis, en ultime
tombée de rideau sur cette soirée magique, CÉLINE
DION s’avance près d’elle pour compléter ce spectaculaire
duo tant attendu, volontairement prolongé au grand plaisir de la
foule qui, tout le long, ovationnait ses deux chanteuses préférées
enfin réunies pour, à leur façon, marquer l’Histoire
de la vieille Capitale et de la chanson de chez nous.
Jean-Guy Pouliot
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