Le tout a débuté le 5 juillet avec nul autre que David Rotundo et deux formidables guitaristes italiens invités soit Enrico Crivallaro et Alberto Colombo en compagnie de Mike Facen à la basse et d’Andrew Austin à la batterie. Ce fut une expérience géniale, on a eu droit à de solides prestations de la part des deux guitaristes qui ont même terminé avec un échange de solos couchés sur le plancher devant les spectateurs éblouis.

Le 6 juillet, au tour de Chris Antonik de monter sur scène. Il était accompagné pour l’occasion de Josh Williams aux claviers, d’Andrew Taylor à la basse et de Chris Chiarelli à la batterie. Antonick a laissé beaucoup de liberté à son claviériste qui a chanté plusieurs pièces et  joué de l’harmonica sur d’autres pièces. Un spectacle fort apprécié des spectateurs.

Howard McCullum, chanteur et bassiste de la formation avait comme complice Pete Galanis et Rocco Calipari aux guitares et Rick King à la batterie. 

Ce fut encore une soirée mémorable où de bons duels de solos de guitare nous on fait dresser les poils de la peau. Et que dire de la magnifique voix d’Howard. Encore une fois les spectateurs ont été comblés.
 
 

j’en suis resté bouche bée tellement elle m’a impressionné. Et que dire du bassiste qui, placé devant un ventilateur faisant voler ses longs cheveux noir, multipliait les pas de danse tout en jouant de son instrument. Le batteur tenait le rythme mais était peu démonstratif. Durant le long rappel, Kelly a mis son gigantesque pédalier à rude épreuve. Impressionnant!

Monsieur Ron Spencer était à la guitare, Jay Gould à la basse et Ross Moe à la batterie. Leur style est un swing blues, j’ai tapé du pied en masse pendant que des couples dansaient. Une soirée super mais un peu plus «reposante» que la veille.

On a pu entendre du  ZZ top, George Thorogood, Joe Bonamassa pour ne nommer que ceux-là ainsi que de leurs compositions dont So Painful; un vrai blues ‘’cochon’’ où Phil Matte excelle à la guitare. Falz est une formation à surveiller, un autre de mes coups de cœur.