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Vidéo
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Il faudra dorénavant renoncer à
associer AVRIL LAVIGNE à une quelconque facture punk ou post grunge,
comme semblait l’annoncer un premier LET GO (2002), énorme succès
de ses débuts à l’âge de17 ans. Avec ce récent
GOODBYE LULLABY, 4e album-studio pour la jeune ontarienne (Canada), lequel
aura pris près de 3 ans à finaliser, l’artiste multipliera
entrevues et commentaires publics pour livrer le message qu’il s’agit enfin
d’un album qui lui ressemble et pour défendre l’intégrité
de ses textes et musiques, attaquées, en général,
injustement.
En ouverture, la douce ballade BLACK STAR donne
le ton à quelques autres telles les WISH YOU WERE HERE (qui sera
sous peu le 3e extrait), montrant sa vulnérabilité, 4 REAL,
REMEMBER WHEN, I LOVE YOU et GOODBYE, fin d’un chapitre et début
d’une nouvelle ère. Intéressantes, par ailleurs les ‘’tounes
de girl’s band’’ établissant ses nouvelles couleurs que sont WHAT
THE HELL, (1er extrait) sur le plaisir et la liberté, SMILE (2e
extrait) sur la gratitude, et STOP STANDING THERE.
Enfin, après les pop/rocks EVERYBODY HURTS
et NOT ENOUGH, soulignons une excellente performance vocale dans la pop/rock/ballad
PUSH, la folk acoustique DARLIN’, aux accents d’Alanis Morissette et, en
clôture, la version allongée de ALICE, mini/pop/opéra
connu depuis le film de 2010 ALICE IN WONDERLAND. |
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