-- Jean-Guy Pouliot
jeanguypouliot@hotmail.com
Photo: Francofolies
Anik Jean
Aux 20e Francofolies de Montréal 2008

 
-- Il y a, chez elle, ce regard perçant et provocateur qui rappelle Nanette Workman, cette extravagance que pouvait démontrer Jo Bocan et ce brin de folie latente à laquelle Diane Dufresne nous a habitué. Il y a surtout ce contraste marqué entre la rudesse de son image et la douceur de sa voix, de même que cet aura de star très perceptible.
   
Ce 29 juillet 2008, aux les 20e Francofolies de Montréal, dans le petit mais sympathique Cabaret Juste Pour Rire, ANIK JEAN accueillit les quelques centaines de fans qui pouvaient s’y entasser avec une prestation tout à fait à la hauteur de son image et comprenant plusieurs extraits de LE CIEL SAIGNE LE MARTYRE, second album en carrière lancé en janvier dernier.

Entièrement vêtue de blanc et portant fièrement le diadème de plumes pendant la pièce d’ouverture, la rockeuse casse d’abord avec une interprétation vocale sans texte inspirée de HURT/ORAGE nous permettant dès lors d’admirer à la fois la douceur et la puissance de sa voix. Elle poursuit ensuite avec THORAZINE, l’une de ses pièces-maitresses, et JUNKIE DE TOI  qui fut son premier succès en carrière, extrait de LE TRASHY SALOON, paru en 2005. 

-
Dès lors, le contact avec le public est établi. Elle va ensuite compléter en enchaînant plusieurs pièces de LE CIEL… dont LA 007, LUCIFER, second extrait de l’album, VEUVE NOIRE et la chanson qu’elle ‘’aime beaucoup’’, dira-t-elle, OH MON CHÉRI, premier extrait radio et vidéo aussi  très apprécié des fans dont plusieurs sont demeurés après le spectacle pour photos et autographes, exercice auquel l’artiste s’est prêté avec générosité.
 

Jean-Guy Pouliot
 
 
 
 
 
 

--
Retour à la page principale