Webzine Le Net Blues
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The devil put dinosaurs here
ALICE IN CHAINS
Capitol Records
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| Sans doute que plusieurs fans de grunge n'évoqueraient
pas spontanément le nom de ALICE IN CHAINS si on leur demandait
de nommer les précurseurs du genre. Pourtant, ils ont façonné
le son de Seattle des années '80 tout autant que NIRVANA, PEARL
JAM ou SOUNDGARDEN. De même, à l'instar de ces deux derniers,
ils présentent, cette année, un nouvel album, THE DEVIL PUT
DINOSAURS HERE, un 5e depuis leur début, le second depuis 2009 avec
le nouveau chanteur William DuVall, relançant ainsi leur carrière
après une éclipse de 14 ans.
Le premier extrait, HOLLOW, véritable carte
de visite grunge par la lourdeur du rythme et du propos et la distorsion
de la sonorité, le second, STONE, au même effet et le plus
récent VOICES, davantage acoustique et mélodique, auront
certes permis aux fans de se reconnaître dans l'authenticité
de leurs favoris. |
MP3
Promo - The Devil Put Dinosaurs Here
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VIDÉO
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De même, le mix vocal entre DuVall et le
vétéran guitariste Jerry Cantrell, qui signe toutes les pièces,
dont plusieurs seul, s'avère tout aussi intéressant qu'à
l'époque de Layne Staley, décédé en 2002, autant,
en plus des extraits précités, sur les ''pesantes'' PRETTY
DONE, LAB MONKEY, LOW CEILING ou PHANTOM LIMB, que sur les ''à peine
plus légères'' THE DEVIL PUT DINOSAURS HERE, SCALPEL ou CHOKE,
en fin d'album.
Jean-Guy Pouliot
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